[en pause] Un dernier espoir

Rappel du premier message :

Bon je me lance... Petite explication : les dialogues sont en allemand traduit en français...

N'hésitez pas à corriger mes fautes pour une meilleure lecture...

Merci de ne pas être trop dur, c'est ma première... lol Si vous avez des commmentaires, bons ou mauvais, je les accepterais... Bonne lecture

Un dernier espoir

Ce matin-là, je frappai d'une main lourde mon réveil sonnant depuis déja quelques secondes et m'assis sur le bord de mon lit. Le dos bombé et les coudes appuyés sur mes cuisses, je regardais le sol.
Je pensais à la soirée que j'avais passée en compagnie d'une jeune brune dont le nom m'échappe. Celle-ci était partie en courant après le baiser que je lui avais volé dans le bar du quartier. A 25 ans, mon moral était au plus bas, surtout question filles.

Je me dirigeai vers la salle de bains et entrai dans la cabine de douche. L'eau chaude coulait sur mon visage et mon corps procurant un bienfait incomparable quand soudain je me rendis compte d'un petit oubli de ma part. J'enlevai mon caleçon trempé et l'envoyai balader dans un recoin de la pièce. Une fois propre et plus ou moins réveillé, j'ouvris brusquement les volets de mon studio pour que l'air hivernal me rafraichisse le visage puis ouvris mes yeux qui n'avaient rien d'autre qu'un vulgaire mur de brique comme panorama. A quelques mètres de là, un nouveau bâtiment destiné à y loger des étudiants de la faculté venait d'être construit en face de ma fenêtre et je ne m'étais pas encore habitué à sa présence. Tous les matins, je répétais ce même stupide rituel pour me rendre frais et dispo pour les cours.
Je sortis de l'immeuble duquel je louais un appartement avec un ami allemand et commençai à marcher le long de la rue. Ce 20 janvier de l'année 2013 était un jour gris et couvert d'une forte couche de nuage ne laissant passer qu'un minimum de lumière solaire. De plus, la pluie qui tombait rendait la fine couche de neige terriblement glissante. Je marchais une vingtaine de minutes dans le froid et dans le smog Berlinois lorsque j'arrivai finalement au bâtiment de physique nucléaire de l'université. Je me rendis au cours d'un certain Professeur Krönenberg sur la physique des particules qui m'ennuyait particulièrement.

J'entrai dans l'auditorium rempli d'étudiants somnolant ou se jettant des boulettes de papiers mâchés, mis à part la petite brune aux lunettes qui suivait méticuleusement toutes les paroles de ce cher professeur. Je m'installai à côté de Karl, mon colocataire connu ici même à l'université de Berlin, il y'a de cela deux ans.
Karl : T'es en retard, me lança-t-il ironiquement
Moi : J'ai raté quelque chose ?
Karl : Non, pas pour le moment...
Pr. Krönenberg : Vous avez un commentaire à faire M.Schmidt ?
Karl : Excusez-moi professeur.

Puis il repris sont cours normalement quoiqu'une pincée d'agacement se sentait dans sa voix. Quant à nous, nous continuions à discuter de choses et d'autres, lorsque la petite brune aux lunette, un surnom qu'on lui donnait à cause de ses horribles lunettes, se tourna vers nous, les yeux sombre de colère nous faisant comprendre ses pensées à notre égard, mais nous en rîmes davantage. Finalement nous nous décidâmes à montrer un tantinet d'intérêt pour le cours de notre bon vieux professeur Krönenberg.
Une vingtaine de minutes plus tard, mon bâillement se fit interrompre par la sonnerie de mon portable retantissant dans tout l'auditorum. Le Professeur ne pronça pas le moindre mot, mais se contenta de m'indiquer de son bras la sortie de l'établissement. Je pris mes affaires et m'en allai.

Dehors, je vis l'auteur de l'appel sur l'écran de mon portable et je répondis.
Moi : *Merde, c'est Zimmermann...Qu'est-ce qu'il me veut encore celui-la*
Moi : Allo
M.Zimmermann : Oui allo, c'est Albert Zimmermann à l'appareil, dit-il d'un air hautain, j'aurais besoin de vous pour un jour ou deux car Markus est malade et il me faut un remplacant.
Moi : *Pfff... Pourquoi pas, je me fais chier pendant les cours et j'ai besoin de thune.*
Moi : D'accord, il n'y a pas de problèmes à priori. Quand ?
M.Zimmermann : Demain et le suivant.
Moi : Très bien je serais là.
En effet, je travaillais dans une boîte qui s'occupait des tournages de courts-métrages, j'étais obligé d'y travailler pour payer mes études de biologie. Mes parents, tous les deux ouvriers dans une usine agroalimentaire en Suisse, ne pouvaient pas payer la totalité de mes études en Allemagne. Je prenais donc tous les petits boulots qui me passaient sous la main.
Moi : A demain
M.Zimmermann : Ok, à demain et merci...
Moi : Pas de quoi
Je raccrochai et me couchai sur l'un des bancs gelés du campus. Pendant quelques minutes (il faisait froid), je fis le bilan de ma vie et en conclus que j'étais un raté : pas de copine, pas de fric et pas d'objectif pour mon avenir. Il me restait tout de même mes potes pour me donner une raison de survivre.

Chères lectrices, chers lecteurs,
Ma fiction est mise en pause. N'ayant pas le temps pour taper le texte dans la semaine, la fiction avance d'un épisode par semaine. C'est pourquoi je préfère arrêter de poster avant d'avoir complétement fini de taper la fin sur le PC. Donc la suite viendra dans quelques semaines.
Merci d'avoir suivi jusqu'ici...

Cordialement

Numa73

han sniif
j'attendrais tampis ^^
cordialement Tchoup!3 pdtrrrr

Je sortis de la voiture et traversai la rue trempée par la pluie battante. Une fois devant la porte de l'appartement 17, je frappai et une jeune brune ouvrit.
Moi : Bonjour, je dois parler à Sylvain...
Jeune Femme : Et vous êtes ?
Moi : Un vieil ami...
La jeune femme appela Sylvain et me fit signe d'entrer. Lorsque je passai le pas de la porte, je decouvris un appartement très design : sobre, mais classe. Sylvain fit son apparition dans le salon et me vit. L'expression de son visage ne changea guère, comme s'il n'était pas surpris de me voir.
Sylvain : Marie, vas-t-en !...
Elle ne bougea pas, confuse.
Sylvain : Tout de suite !
Elle prit son manteau et partit, apparemment inquiète.
Sylvain : Je savais que tu referais surface un jour ou l'autre...
Je ne disais rien, je me contentai de le regarder fixement dans les yeux.
Sylvain : Je savais que tu n'étais pas mort... Nous avons été entrainés pour survivre et quand la police a annoncé qu'elle n'avait pas retrouvé ton corps...
Moi : Je n'ai pas assassiné ton frère... Il faut que tu me croies... J'en aurais été incapable, je l'aimais comme mon frère... Toi même tu le sais...
Sylvain : En effet... mais je ne sais plus qui croire.
Moi : Laisse-moi trois jours pour t'apporter la preuve de mon innocence, si je n'y arrive pas, tu pourras me descendre.
Sylvain : OK. Tiens ! Va à cette planque tu trouveras ce dont tu auras besoin.
Moi : Merci, mais j'ai aussi besoin du carnet d'adresse de ton frère.
Sylvain alla chercher un carton dasn un réduit et me le donna.
Sylvain : Tout est là...
Moi : Merci, tu ne le regretteras pas...
Je ressortis de l'immeuble et m'assis dans la voiture.
Ch : Alors ?
Moi : Je l'ai...
Ch : On fait quoi maintenant ?
Moi : Je dois m'équiper...

Sylvain m'avait indiqué une chambre d'hôtel qui lui servait de planque et où il y cachait tout ce dont il avait besoin.Nous entrames dans la chambre qui était, malgré l'état général de l'établissement, propre et coquette. Christina s'assit sur le lit et observait mes faits et gestes. Je glissai mon bras derrière une armoire de chêne massif et la fis glisser de telle manière que je puisse accéder au coffre, contenant des armes er de l'argent sale. Je pris un 9mm, vissa un silencieux à son bout et le glissa dans la poche intérieure de ma veste. Au passage, je pris trois liasses de billets de 500€ et un Desert Eagle (^^). Tout cela devant les yeux ébahis de Christina qui ne disait plus rien.

Moi : On y va ?
Ch : ... Tu m'explique ?
Moi : Ca serait trop long... Viens ! lui demandais-je calmement.
Ch : Attend ! Je viens de te voir manier des armes comme un pro, ce que tu n'avais jamais fait avant, et tu veux que je te suive... les yeux fermés ?
Moi : je ne t'ai pas menti, je t'ai juste caché ce côté de ma vie.
Ch : Tu es quoi au juste ? Un espion ? Un agent secret ?
Moi : Non je ne suis pas un espion, lui dis-je en souriant.
Ch : Alors tu es quoi ? me demanda-t-elle au bord de l'hystérie.
Je me resolus à lui dire.
Moi : A 18 ans, je me suis disputé avec mes parents et je suis parti sur un coup de tête. Je suis entré dans une unité spéciale de l'armée allemande. A cette époque, je voulais devenir un commando, comme dans les films. J'ai fait quatre ans d'entraînementsintensifs durant lesquelles j'ai rencontré Sylvain qui en faisait aussi partie. Puis, à 22 ans, nious n'étions plus que 17 à participer au programme, mais cette vie me déplaisait et j'ai quitté l'unité pour reprendre mes études là ou je les avais laissées. Alors, je suis entré dans la même université que Karl, mon cadet de 5 ans. Je les considérais tous les deux comme des frères. Voila, c'est tout.
Christina se tenait devant moi, bouche bée.
Ch : Pourquoi tu ne m'as jamais raconté ça ?
Moi : Tu ne me l'as jamais demandé...

va y'avoir de l'action apparemment !! ^^
suite ! ^^

ah genial j'adore ^^

bah c'est marrant mais bon ...

C'est marrant j'espérais que vous alliez oublier... ^^
Bah je sais pas si y aura une suite... Dsl

gniaaa :'(

rha c'est kristeu
jveux savoir la suiteu moi

Nous ressortîmes de l'immeuble sous un ciel couvert et orangé qui annoncait une tempête électro-magnétique, il ne fallait pas perdre un instant. Le soleil traversait néamoins les nuages et nous apparaissait sous forme d'un halo plus clair. Je fis signe à Christina de me laisser seul. Elle me regarda avec mépris pendant que j'avançai, seul, dans le preau de béton entre deux HLM. Je sortis mon portable et composai le numéro délivré par le carnet de Karl.
Voix : Allô...
Moi : Marvin, c'est Max... J'ai besoin de ton aide, c'est urgent.
Marvin : Et qu'est-ce que ça me rapporte ?
Moi : 20'000€
Marvin : Tu connais la procédure...
Il raccrocha sans dire un mot de plus.
Ch : Alors, où va-t-on ?
Christina se tenait juste derrière moi.
Moi : Je t'avais demandé de rester près de la voiture.
Ch : J'en avais marre d'être mise à l'écart... tu ne me fais plus confiance ?
Moi : Ce n'est pas une question de confiance, mais j'ai toujours travaillé seul et...
Ch : ... et tu voulais me protéger...... Quelles que soient tes intentions, je suis une grande fille... Laisse moi t'aider et merci, mais je sais me protéger.
Je la regardai avec le sourire aux lèvres et des yeux défieurs.
Moi : Bien ! Suis-moi.
Une bonne demie-heure de route plus tard, nous arrivâmes dans un riche quartier résidentiel de Berlin. L'ambiance était tendue entre Christina et moi et peu de mots avaient été échangée durant le trajet.
Moi : Tu m'accompagnes, lui lançai-je ironiquement en ouvrant la portière.
Ch : Ha...Ha...Ha... Très drôle.
La maison de style moderne exposait une certaine richesse de ses propriétaires. Devant la porte d'entrée, le garde du corps se tenait appuyé contre l'une des colonnes de marbre blanc. Arrivé devant cette armoire à glace, je demandai à voir Marvin. Il s'écarta et nous laissa entrer. Dans le hall, un immense escalier en colimaçon nous faisait face duquel descendait un homme en peignoir bordeau. Il s'approcha de moi.
Homme : Bonjour, me dit-il en me serrant la main. N'avons nous pas eu déjà la chance de nous rencontrer auparavant ?
Moi : En effet... J'ai déjà eu affaire à votre fils, Marvin.
Il regarda Christina avec un regard de séducteurmais un sourire pervers. Je voulus lui briser un membre, mais je me retins, puisque Christina aurait vu cela comme un signe d'affection et je ne pouvais me le permettre. De plus, cela m'aurait valu deux dents cassées.
Homme : Vous et votre charmante demoiselle êtes venu pour voir ma descendance ?... Il est en haut... Pas besoin de vous indiquer le chemin.
Moi : Merci de votre acceuil, ajoutai-je hypocritement.
Nous grimpâmes les escaliers et de nombreuses portes s'offraient à nous au premier. Seule une se distinguait des autres par des autocollants et des panneaux biohazard ou stop. Nous nous approchâmes de celle-çi lorsque je vis une image qui me fit sourire. Je me tournai vers Christina en pointant le photo du doigt.
Moi : On va bien rire.
Christina : Pourquoi ?
Moi : Regarde !
En effet, une photo de Lafee était collée contre la porte. Puis, Nous entrâmes dans une pièce sombre, éclairée seuelement par la dixaine d'écrans de télévision et d'ordinateurs.


Marvin était un jeune homme de 19 ans très doué en informatique qui avait été arrêté par la police pour piratage et c'est à cette occasion que je l'ai connu. Il a signé un contrat avec la police pour les aider contre la cyber-criminalité et nous lui avons demandé de nombreux coup de pouce plus ou moins légaux...
Il était assis dans son fauteuil de cuir usé par une longue utilisation quotidienne, devant un grand écran avec le casque sur les oreilles. Son bureau ressemblait plus a un champs de bataille qu'à autre chose : des canettes pliées, des paquets de chips et de Haribo, des revues d'informatique ainsi que des tonnes de feuilles volantes jonchaient son poste de travail.
Moi : Marvin... MARVIN
Il sursauta et se retourna.
Marvin : Ah ouais... Jt'avais oublié...
Moi : Mais... Je t'ai appelé y a une demie heure... ?!
Marvin : Ouais mais voila... chuis plongé dans mon truc.
Toujours assis, Marvin se pencha pour admirer la belle créature qui se tenait silencieusement derrière moi.
Moi : Ah oui... voila...euh j'imagine que tu la connais...
Marvin : Non non pas besoin de me la présenter... me dit-il le regard fixé sur le visage de Christina... Enfin peut-etre pas que le visage...
Moi : Bon on a besoin de toi... MARVIN
Marvin : Ah oui.... scuse mec... Pourquoi faire ?
Moi : On a récupéré une adresse e-mail et j'aimerais que tu tire le plus d'info sur cette personne... Jveux un nom, une adresse et une photo... Tu m'envoie ca sur mon PDA dans une heure...
Marvin : Ouais tout cque tu veux... Mais... T'as de quoi payer ?
Moi : Tiens... prends ca... une avance... la suite jte la donnerai une fois le boulot fini...
Je sortis quelques liasses de billets de ma poche et les lui donna. Il les prit , fit mine de compter les billets en les faisant glisser sous ses doigts et les jeta sur son bureau au milieu des cadavres de boissons énergisantes. Il prit une canette sous son bureau et l'ouvrit.
Marvin : Okay ca marche... t'auras tout ca dans 45 minutes...
Moi : Merci
Nous quittâmes la chambre et la maison sans ajouter un seul mot.
Moi : Viens, on va à ton appart... Il faut que je dorme un peu...
Ch : Okay tu connais l'adresse...


Dix minutes après, nous nous retrouvâmes face à la porte de son appartement. Elle tripota son trousseau de clés cherchant celle de son logis. Une fois en main, elle la glissa dans la serrure et la fit tourner d'un geste brusque ce qui fit crier la porte qui s'ouvrit. Je m'affalai sur son divan et fermai les yeux. Christina déposa son manteau et ses clés sur le meuble d'entrée et vint s'assoir à côté de moi. Elle me fixait de son regard aux reflets verts et bruns. Ne supportant pas son regard, je me levai et me dirigeai vers la salle de bains tandis qu'elle me suivait des yeux. Je me regardai dans la glace au dessus de l'evier. Ce que je vis me degoutai : un visage pâle et des yeux gorgés de sang. J'ouvris l'eau glacée et me trempa de mes mains les joues et la nuque. Elle me suivit et s'appuya contre l'encadrement de la porte, les bras croisés.
Ch : C'est quoi le problème ?
Moi : Il n'y en a pas...
Ch : Pas besoin de te connaître pour voir que tu vas mal...
Je me retournai de manière à être face à elle. J'hesitai quelques secondes puis repris.
Moi : J'ai peur de perdre mon sang froid...
Ch : Quoi ?... Je comprends pas...
Moi : Il a tué mon meilleur ami... Si je le voyais, j'ai peur de faire une connerie...
Elle s'aprocha de moi et m'enlaça, puis me chuchota quelques mots à l'oreille.
Ch : Je veux pas te perdre une seconde fois...
Je la serrai fort dans mes bras lorsque mon PDA sonna. Marvin , comme à son habitude, avait fait de l'excellent travail. J'avais le nom, la photo de l'homme et son adresse. Je pris mon manteau et mon arme puis descendis les escaliers de l'immeuble suivi de près par Christina. En sortant par la porte principale, scrutant l'horizon, je vis le soleil se coucher au loin. Le ciel s'assombrissait. Au loin, le smog du centre ville, devenant d'années en années plus épais, se montrait menaçant et annonçait un pic de pollution important fréquents en cette période de l'an.
Je montai à bord de l'Opel Corsa verte dans laquelle Christina se trouvait déjà assise depuis quelques dixaines de secondes déjà. Sur la route menant à l'appartement de l'homme, je pensais... Je pensais à ce que j'avais à perdre ce soir. Je tournai la tête en direction de Christina qui regardait le fleuve depuis le pont que nous traversions.
Moi : * Pauvre fille... Je l'ai embarquée dans cette histoire alors que j'ai Paula dans ma vie...*
Ch : Ca y est...
Ses paroles me firent revenir à moi et je regardai à travers le pare-brise. Nous étions en effet arrivé dans le quartier de notre assassin. Je me garai quelques pâtés de maisons plus loin pour ne pas éveiller le moindre soupçon. Je sortis de la voiture et en fis le tour pour ouvrir le coffre. Sous la trappe du coffre, j'echangeai mon arme pour un silencieux, plus discret et plus rapide.
En marchant calmement, je traversai la rue et montai les escaliers. J'avais demandé à Christina de rester dans la voiture. Arrivé devant la porte, le coeur battant, je frappai violemment contre le bois pourri de la porte. Un homme, ressemblant à mon assassin, ouvrit et ne fut pas surpris de me voir. Il se retourna et se dirigea calmement vers le divan laissant la porte ouverte. Je franchis le palier et lui attrapai le bras. Je le mis à terre, lui brisant l'épaule au passage. Il riait. Je sortis mon silencieux de mon étui et le lui colla derrière l'oreille. Je tremblai lorsque Christina fit irruption dans la pièce me voyant l'arme braquée contre sa tête. Elle se jeta sur moi en tirant mon bras de toutes ses forces.
Ch : NON!!... Ne fais pas ça... Tu n'es pas un meurtrier...
Elle m'agaçait terriblement et, dans mon élan de rage, je lui envoyai le revers de ma main dans la figure, la projetant ainsi en arrière. Ce que je venais de faire, me fis reprendre mon sang froid.
La tête baissée, ses rideaux formaient un rideau opaque, camouflant ainsi une jeune femme sanglotante. Je lâchai l'homme et voulu m'approcher d'elle.
Ch : Dégage... chuchota-t-elle.
Je continuais d'avancer.
Ch : Dégage me lança-t-elle toujours calmement.
Soudain, un homme ressemblant comme deux gouttes d'eau à l'homme gisant sur le sol venait de faire son apparition dans l'encadrement de la porte. A la vue de la scène, il lâcha son sac de courses et s'enfuya dans le couloir. Je pris mon arme et courru à mon tour dans le couloir. Tournant au coin d'un couloir, j'entendis une forte détonation qui me procura une violente douleur à l'épaule gauche. Couché à terre, mon sang se répandait et je perdis connaissance.

arf c'est mal barré
merci pour la suite Numa,depuis le temps que je (on ) l'attendais

j'ai lu le debut ... sa me donne pas envie XD ^^ dsl

ouais tkt j'ai bien vu que tu lachais prise ^^ pas de probs

Merci karine... cette fois jvais essayer de faire plus vite... dans le courant de la semaine XD

ok